Convention du Rotary : Attention, peut créer une forte dépendance
La convention annuelle du Rotary donne à ses membres
l'occasion de voyager, de découvrir de nouvelles cultures et de se faire
de nouveaux amis tout en échangeant des idées avec des décideurs aussi
motivés qu'eux d'avoir un impact. Ces dix dernières années, les membres
du Rotary ont été accueillis à Birmingham, Montréal, La
Nouvelle-Orléans, Bangkok, Lisbonne et Sydney. En 2015, la famille du
Rotary se retrouvera à São Paulo au Brésil. Pour accueillir les
participants, de nombreuses villes mettent les petits plats dans les
grands : trains spéciaux pour se rendre au centre de convention, visites
et excursions des villes et des alentours.
Ancienne dirigeante du Rotary en Californie, Jane Nusz a participé à sa première convention en 1997 à Glasgow, en tant que présidente de club entrante. « C'était extraordinaire de rencontrer des gens venus du monde entier, tous passionnés par le Rotary, et de découvrir leurs cultures », explique-t-elle. « Beaucoup sont restés des amis. Nous nous écrivons à Noël, nos clubs travaillent ensemble sur des actions ou nous nous retrouvons parfois en famille. Je n'ai raté aucune convention depuis. »
La convention permet notamment aux nouveaux membres de prendre conscience de l'envergure et de l'universalité du Rotary. Les ateliers donnent aux participants la possibilité de renforcer leurs compétences en matière de leadership, de mieux comprendre les rouages de notre organisation et d'obtenir par exemple des informations sur les financements disponibles, les ressources à la disposition des clubs, les partenariats d'envergure sur des actions à impact durable.
À la Maison de l'amitié, les participants peuvent découvrir les stands des actions des clubs et districts et trouver des partenaires pour leurs propres projets. Les Amicales du Rotary, des groupes de membres partageant un intérêt pour un hobby, une profession ou une expertise dans un domaine spécifique, présentent aussi leurs activités.
Pour Tanya Wolff, membre du Rotary club de Sarnia au Canada, et qui en est à sa 11e convention, retrouver des amis de longue date et s'en faire de nouveaux est ce qu'apprécie le plus : « Après avoir écouté les conférenciers, je passe beaucoup de temps à la Maison de l'amitié. Je visite aussi la ville et le pays qui nous accueillent. Où me serait-il possible de me retrouver avec des milliers de personnes partageant mes valeurs ? »
Ancien membre du Rotaract et aujourd'hui du Rotary club de Turramurra en Australie, Evan Burrell cherche à rencontrer le plus de personnes possibles. Pendant la convention à Sydney l'an dernier, il a partagé sur les réseaux sociaux les innombrables photos prises au gré de ses rencontres.
Il indique avoir attrapé le virus des conventions quand on lui a demandé de représenter le Rotaract à la convention 2010 à Montréal. « Les conventions du Rotary sont vraiment fantastiques, raconte Evan. C'est là que vous réalisez vraiment la taille et l'internationalité de notre organisation ».
« De nombreuses actions sont présentées dans la Maison de l'amitié, ajoute-t-il. Pour moi, le plus intéressant est la possibilité de rencontrer et de partager des idées avec tant de personnes d'horizons différents. La convention est notre meilleur argument de promotion car elle montre réellement qui nous sommes et ce que nous faisons ».
Margaret Lesjak a participé à sa première convention l'an dernier à Sydney. Cela ne l'empêche pas d'être déjà « accro ». Membre du Rotary club de Broken Hill South en Australie, elle a pu rencontrer des Rotariens du monde entier. « Tout commençait dès le matin dans les trains réservés aux membres du Rotary, explique-t-elle. Les discussions étaient joyeuses, tout le monde devenait amis au moins pour le temps de la convention. J'ai rencontré deux femmes qui venaient du Mexique. Le père de l'une et le mari de l'autre avaient participé au Youth Exchange dans une petite ville que je connaissais et elles cherchaient à rencontrer quelqu'un qui y habitait. Le dernier jour, leur vœu s'est réalisé : un des conférenciers avait grandi là-bas ! »
S'inscrire à la convention avant le 31 mars à prix réduits
Acheter vos billets pour les manifestations du comité hôte
Découvrir São Paulo et organiser votre visite
Ancienne dirigeante du Rotary en Californie, Jane Nusz a participé à sa première convention en 1997 à Glasgow, en tant que présidente de club entrante. « C'était extraordinaire de rencontrer des gens venus du monde entier, tous passionnés par le Rotary, et de découvrir leurs cultures », explique-t-elle. « Beaucoup sont restés des amis. Nous nous écrivons à Noël, nos clubs travaillent ensemble sur des actions ou nous nous retrouvons parfois en famille. Je n'ai raté aucune convention depuis. »
La convention permet notamment aux nouveaux membres de prendre conscience de l'envergure et de l'universalité du Rotary. Les ateliers donnent aux participants la possibilité de renforcer leurs compétences en matière de leadership, de mieux comprendre les rouages de notre organisation et d'obtenir par exemple des informations sur les financements disponibles, les ressources à la disposition des clubs, les partenariats d'envergure sur des actions à impact durable.
À la Maison de l'amitié, les participants peuvent découvrir les stands des actions des clubs et districts et trouver des partenaires pour leurs propres projets. Les Amicales du Rotary, des groupes de membres partageant un intérêt pour un hobby, une profession ou une expertise dans un domaine spécifique, présentent aussi leurs activités.
Pour Tanya Wolff, membre du Rotary club de Sarnia au Canada, et qui en est à sa 11e convention, retrouver des amis de longue date et s'en faire de nouveaux est ce qu'apprécie le plus : « Après avoir écouté les conférenciers, je passe beaucoup de temps à la Maison de l'amitié. Je visite aussi la ville et le pays qui nous accueillent. Où me serait-il possible de me retrouver avec des milliers de personnes partageant mes valeurs ? »
Ancien membre du Rotaract et aujourd'hui du Rotary club de Turramurra en Australie, Evan Burrell cherche à rencontrer le plus de personnes possibles. Pendant la convention à Sydney l'an dernier, il a partagé sur les réseaux sociaux les innombrables photos prises au gré de ses rencontres.
Il indique avoir attrapé le virus des conventions quand on lui a demandé de représenter le Rotaract à la convention 2010 à Montréal. « Les conventions du Rotary sont vraiment fantastiques, raconte Evan. C'est là que vous réalisez vraiment la taille et l'internationalité de notre organisation ».
« De nombreuses actions sont présentées dans la Maison de l'amitié, ajoute-t-il. Pour moi, le plus intéressant est la possibilité de rencontrer et de partager des idées avec tant de personnes d'horizons différents. La convention est notre meilleur argument de promotion car elle montre réellement qui nous sommes et ce que nous faisons ».
Margaret Lesjak a participé à sa première convention l'an dernier à Sydney. Cela ne l'empêche pas d'être déjà « accro ». Membre du Rotary club de Broken Hill South en Australie, elle a pu rencontrer des Rotariens du monde entier. « Tout commençait dès le matin dans les trains réservés aux membres du Rotary, explique-t-elle. Les discussions étaient joyeuses, tout le monde devenait amis au moins pour le temps de la convention. J'ai rencontré deux femmes qui venaient du Mexique. Le père de l'une et le mari de l'autre avaient participé au Youth Exchange dans une petite ville que je connaissais et elles cherchaient à rencontrer quelqu'un qui y habitait. Le dernier jour, leur vœu s'est réalisé : un des conférenciers avait grandi là-bas ! »
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Actualités du Rotary
7-Apr-2015
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